Postez vos débuts de nouvelles, de romans…

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26 commentaires sur “Postez vos débuts de nouvelles, de romans…

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  1. La presse a une dent contre eux.

    Sept heures du matin. Pardon, il est en fait un peu plus de huit heures. Je ne suis pas matinal et alors ? Du coup, je suis à la bourre. Question d’habitude. Quatre ans que ça dure. J’ai rayé le petit déjeuner de mes habitudes brumeuses d’après-réveil. Je file direct à la douche, trois coups de rasoir pour faire propre, un peu de pschitt pour mettre une claque aux mauvaises odeurs, un coup de brosse-les-dents, reprendre le même jean que la veille, repasser à l’arrache une chemisette – vous avez déjà vu un homme seul s’embarrasser à repasser des manches longues ? C’est une horreur ! Maintenant, vous savez –, un coup de peigne, un cédé pour le trajet et c’est parti. Demi-tour dans le couloir. Cet après-midi, je file en Normandie pour 3 jours, un abattoir bovin, faut que je fasse une valise. Ca va vite. L’habitude. Je ne serai en retard que d’un quart d’heure, pas plus.
    Arrivé au bureau, et quelques poignées de main plus tard, j’allume enfin mon PC. Vous avez 8 messages. 7 spams. Finalement, il en reste un. Même pas besoin d’aligner la retenue en haut de l’opération. J’ouvre.

    De : Jean-Pascal Moulin
    A : Vincent Clamart
    Objet : Article de presse ADN
    Vincent,
    Dans le Ouest-France édition Saint-Lô d’hier, il y a un article concernant ton client ADN (NDA : Abattoirs De Normandie, d’ailleurs ADN/NDA, c’est un palindrome, passons). Il a été retrouvé dans un de leur steak haché une dent humaine. Comme tu seras sur place cette semaine, essaye d’en savoir un peu plus, ils ont un passif de 45 KE chez nous. Je compte sur ta DISCRETION.
    Cordialement,
    Jean-Pasc’.
    Déjà, que « Jean-Pasc’ » m’écrive un mail, c’est suffisamment rare pour que ça ne soit pas un cadeau, mais en plus qu’il conjugue sur les deux mots finaux une marque de distance respectueuse qui s’apparente plus à du politiquement correct qu’à de la politesse et un signe de franche camaraderie avec un sobriquet qu’il me viendrait jamais à l’esprit de l’employer à son égard, ça devient vraiment nauséabond.

    Je n’ai pas le choix. Il faut que je me procure le canard d’hier de cette région humide du globe que l’on nomme La Manche. Ca va en être une sacrée paire, c’est le cas de le dire. En plus, il est gentil mon Jean-Pasc’ – maintenant que l’on est devenu intime malgré moi, je peux me permettre quelques familiarités – à me prendre pour un commissaire Maigret . Déjà, je n’en ai ni l’âge, ni le physique, puis moi la pipe, c’est plus le soir, par celle qui voudra bien partager ma vie. Et puis, entre nous, j’ai plus du Poulpe que de Jules. Rien d’officiel, tout en freelance. Mais sans Beretta. Juste la grande carcasse rigide et un sens de la répartie que j’essaye de servir du mieux que je peux. En plus, un Clamart devenant Poulpe, c’est une consécration, je suis enfin devenu adulte ? Parce que depuis le temps que l’on me nomme le petit-Clamart, plus d’un mètre quatre-vingt le petit-Clamart qu’il fait, et il pourrait bien faire un attentat envers le prochain qui sort une énième fois ce jeu de mots débile.
    En attendant, il faut que je le choppe le Jean-Pasc’, il en sait plus que moi et son mayeleu est plus qu’imprécis. J’ouvre ASA. C’est le nom de notre logiciel de gestion interne qui inclut l’agenda. ASA : Agenda Sporadiquement Accessible vu le taux de panne de cet outil informatique mal conçu. Et je sais de quoi je parle. Moi aussi avant je programmais un logiciel sans me soucier de son utilisation. Maintenant, je l’installe. Bien fait pour moi. Jean-Pasc’ est en réunion ce matin et en début d’après-midi. Un bon moyen de ne pas se faire submerger par toute sorte de sollicitation non désirée. Une planque, en somme. On tire sur les ambulances que sont les administrations et le temps qu’ils perdent en réunion. Dans le privé, la pandémie réunionite s’y gangrène de façon tout aussi prolifique.
    Je pars vers 17h. J’ai donc une heure, entre 16 et 17 pour pécho mon pote Jipasque. Zoner en salle de repos, près de la machine à café me semble être l’idéal pour un guet-apens machiavélique dont il ne se doutera de rien. Le hasard. Tu parles !
    Mais avant, il faut mettre à profit tous contacts humains extra-professionnels pour glisser dans la conversation la dent du délit. Ce genre de fait divers, mes collègues en sont friands. Nous, hommes et femmes de l’ombre, nous ne vivons plus que par procuration. Les seuls articles de presse vantant nos mérites figurent dans la presse spécialisée. Audience : quelques milliers de professionnels de la profession, comme aiment le rappeler tautologiquement les journalistes de journaux journalistiques.
    La chasse est ouverte. Les lieux de prédilections pour ce genre d’activité sont les couloirs, les visites opportunes dans les bureaux d’à-côté, et la fameuse machine à café trustée par les Jean-Claude Convenant et Hervé Dumont locaux. Je sens d’ores et déjà que le taux de caféine dans mon organisme sera élevé ce soir. Déjà que le changement de piaule, malgré cinq ans de bourlingue, je ne m’y fait toujours pas, matant n’importe quelle connerie à la télé jusqu’à parfois deux heures du matin, cherchant vainement le sommeil après avoir relu sept fois la même page sans rien comprendre du texte. Fatigué mais sans sommeil. Drôle de maladie. Quelle mouche m’a piqué ? Tsé-tsé, où es-tu ?
    10h30 pétante. L’heure de la pause. Je tiens ma position stratégique. A cinq mètres de la machine. Pour ne pas perturber le flux tout en pouvant intercepter tout le monde. Et sans forcer, le seul sujet de discussion de la journée : la dent humaine. Rien d’intéressant ceci dit. Que des banalités, des vannes foireuses. « Ca va coûter cher à la sécu pour la remplacer » dit l’un. « C’est une dent de tartare, j’en suis sûr, qui c’tait caché » renchérit l’autre. L’Audiard du pauvre.
    Le tour des bureaux ne m’apprend rien non plus. Personne n’a pu trouver l’article. Même sur Ternette, rien trouvé. A Ouest-France Saint-Lô, ils ne doivent pas avoir beaucoup de lecteurs du ouaibe pour étaler tous les articles de barbarie du canard local.
    Bredouille.

    Pause déjeuner. La fève carnivore tient le haut du pavé, de rumsteck, même hors-saison. Les rois de la déconnade s’y donne à cœur, de rumsteck aussi, joie. « Le mec qui a perdu sa dent n’a plus qu’à aller pointer chez Ivoire-et-Carret ». Je feins un sourire, dont le cynisme ne fait que cacher l’épreuve d’investigation de haut-vol qui m’attend. Seul mon chef commence à comprendre que ça me turlupine. Il vient de se rendre compte que c’est mon client et que je lui rends visite demain. J’attends la sienne en début d’après-midi. En attendant, ça se gausse, comme Pivot, c’est ça la convivialité développée par la direction bien aidée par les multiples approches psychologiques du service Erre-Hache.
    Régis, mon chef, sur le chemin du retour me propose un « débrief » avant que je parte (au casse-pipe) chez ADN. Il m’en explique le contexte un peu particulier. Je l’informe du message électronique de Jean-Pascal Moulin. Il baragouine, tergiverse, paraphrase tout ça pour me dire de la jouer soft. Pas de vagues. Comme si j’allais faire du surf sur les plages de débarquement. Des fois je me demande s’ils ne me sous-estiment pas un peu trop. Ca fait plaisir toute cette confiance, on sent l’équipe soudée. Encore une utopie erre-hachiée qui s’évapore.
    Je me sens de plus en plus seul.
    Heureusement, il y a Moulin, pas l’inspecteur, Jean-Pasc’. Téléphone. Réunion improvisée dans la petite salle du premier étage, en face du bureau de Jean-Pasc’. André Mayer, le directeur de la communication est là aussi. Je ne sais pas si je dois me sentir soulagé. Mais le journal Ouest-France, édition Saint-Lô est là. Sur la table. Jipasque m’offre gracieusement une photocopie noire et blanche, ce qui est largement suffisant, la photo couleur étant « d’archive », montrant un homme en casque de chantier et blouse blanche, la main droite appuyée contre la carcasse d’un bovin, le visage radieux comme un solognot à côté de son exploit de chasse. Je prends le temps de lire l’article.

    1. Globalement, c’est un polar écrit avec humour noir, très drôle.

      Le long monologue du narrateur est un peu déroutant, ainsi que le détachement permanent du héros (on dirait qu’il s’amuse de tout).

      Les jeux de mots sont amusants mais ne pas trop en faire.

      On comprend l’intrigue, la démarche du personnage.

      Il n’y a pas de personnage secondaire pour l’instant. Il est important que l’on puisse parfois sortir de la tête du personnage avec l’irruption de personnages secondaires dont le comportement soit moins clair que celui du héros, que l’on puisse voir les interactions du héros avec diverses personnes. Il me semble important d’ajouter des dialogues, des mails, des coups de téléphone, des morceaux de chanson si tu veux, toutes sortes de choses pour interrompre le monologue intérieur et aérer le texte.

      Certains auteurs, comme Beckett, ont écrit des romans sous forme de monologue intérieur sans point ni paragraphe, mais je ne le conseille pas pour un polar.

      J’ai ajouté quelques remarques au fil de ma lecture… Quand je ne dis rien, c’est que c’est bien, donc ne t’étonne pas si j’insiste sur les critiques 😉 Mais des critiques constructives.
      Après, c’est toi l’auteur, tu en fais donc ce que tu veux !

      Bon courage pour la suite !

      « La presse a une dent contre eux. »

      Pas de point après le titre.

      « Sept heures du matin. Pardon, il est en fait un peu plus de huit heures. Je ne suis pas matinal et alors ? »

      Texte écrit avec beaucoup d’oralité… Mmh c’est un style, mais tu supposes au lecteur des pensées qu’il n’a peut-être pas, donc je remplacerais le « pardon »par un « non » et je barrerais la dernière phrase.

      « Du coup, je suis à la bourre. Question d’habitude. Quatre ans que ça dure. J’ai rayé le petit déjeuner de mes habitudes brumeuses d’après-réveil. Je file direct à la douche, trois coups de rasoir pour faire propre, un peu de pschitt pour mettre une claque aux mauvaises odeurs, un coup de brosse-les-dents,  »

      Le mot « coup » est répété deux fois.

       » reprendre le même jean que la veille, repasser à l’arrache une chemisette – vous avez déjà vu un homme seul s’embarrasser à repasser des manches longues ? C’est une horreur ! Maintenant, vous savez –, un coup de peigne, un cédé pour le trajet et c’est parti.  »

      Un peu macho, non ? 🙂

       » Demi-tour dans le couloir. Cet après-midi, je file en Normandie pour 3 jours, un abattoir bovin, faut que je fasse une valise. Ca va vite. L’habitude. Je ne serai en retard que d’un quart d’heure, pas plus. »

      Ecrire « trois » en toutes lettres.

      « Arrivé au bureau, et quelques poignées de main plus tard, j’allume enfin mon PC. Vous avez 8 messages. 7 spams. Finalement, il en reste un. Même pas besoin d’aligner la retenue en haut de l’opération. J’ouvre. »

      « De : Jean-Pascal Moulin
      A : Vincent Clamart
      Objet : Article de presse ADN
      Vincent,
      Dans le Ouest-France édition Saint-Lô d’hier, il y a un article concernant ton client ADN (NDA : Abattoirs De Normandie, d’ailleurs ADN/NDA, c’est un palindrome, passons). Il a été retrouvé dans un de leur steak haché une dent humaine. Comme tu seras sur place cette semaine, essaye d’en savoir un peu plus, ils ont un passif de 45 KE chez nous. Je compte sur ta DISCRETION.
      Cordialement,
      Jean-Pasc’. »

      Le jeu de mot sur ADN/NDA n’est pas approprié, elle enlève de la gravité à la nouvelle.
      Par ailleurs, on a l’impression que JPM a le même humour que le narrateur. Il faut différencier les personnages.

      « Déjà, que « Jean-Pasc’ » m’écrive un mail, c’est suffisamment rare pour que ça ne soit pas un cadeau, mais en plus qu’il conjugue sur les deux mots finaux une marque de distance respectueuse qui s’apparente plus à du politiquement correct qu’à de la politesse et un signe de franche camaraderie avec un sobriquet qu’il me viendrait jamais à l’esprit de l’employer à son égard, ça devient vraiment nauséabond. »

      Phrase un peu longue, on perd le fil avec la succession des subordonnées (4 « que » dans la même phrase). Tu peux en faire sauter un en reformulant un peu la phrase.
      Aucune réaction par rapport à la dent humaine retrouvé dans un steack, c’est étrange, surtout si c’est le moteur de ton histoire.

      « Je n’ai pas le choix. Il faut que je me procure le canard d’hier de cette région humide du globe que l’on nomme La Manche. Ca va en être une sacrée paire, c’est le cas de le dire. En plus, il est gentil mon Jean-Pasc’ – maintenant que l’on est devenu intime malgré moi, je peux me permettre quelques familiarités – à me prendre pour un commissaire Maigret . Déjà, je n’en ai ni l’âge, ni le physique, puis moi la pipe, c’est plus le soir, par celle qui voudra bien partager ma vie.

      Oh non ! « La pipe » associée à une phrase romantique ! lol Sais-tu que la majorité des lectrices sont des femmes ? Y compris dans les maisons d’édition…

      Et puis, entre nous, j’ai plus du Poulpe que de Jules. Rien d’officiel, tout en freelance. Mais sans Beretta. Juste la grande carcasse rigide et un sens de la répartie que j’essaye de servir du mieux que je peux. En plus, un Clamart devenant Poulpe, c’est une consécration, je suis enfin devenu adulte ? Parce que depuis le temps que l’on me nomme le petit-Clamart, plus d’un mètre quatre-vingt le petit-Clamart qu’il fait, et il pourrait bien faire un attentat envers le prochain qui sort une énième fois ce jeu de mots débile.
      Ton héros semble plutôt heureux de cette occasion. Il semble avoir déjà enquêté par le pasé, c’est bien ça ?

      Le style du monologue du personnage ne change pas avant/après l’info sur la dent humaine. Il aurait été intéressant que le personnage, d’abord guilleret, devienne d’un coup plus sérieux, plutôt embêté par le « sale boulot » qui lui tombe dessus, avant d’y voir un avantage peut-être…

      « En attendant, il faut que je le choppe le Jean-Pasc’, il en sait plus que moi et son mayeleu est plus qu’imprécis. »

      « chope » avec un p

      « J’ouvre ASA. C’est le nom de notre logiciel de gestion interne qui inclut l’agenda. ASA : Agenda Sporadiquement Accessible vu le taux de panne de cet outil informatique mal conçu. Et je sais de quoi je parle. Moi aussi avant je programmais un logiciel sans me soucier de son utilisation. Maintenant, je l’installe. Bien fait pour moi. Jean-Pasc’ est en réunion ce matin et en début d’après-midi. Un bon moyen de ne pas se faire submerger par toute sorte de sollicitation non désirée. Une planque, en somme. On tire sur les ambulances que sont les administrations et le temps qu’ils perdent en réunion. Dans le privé, la pandémie réunionite s’y gangrène de façon tout aussi prolifique. »

      Un pandémie qui se gangrène ? Mmh…

      « Je pars vers 17h. J’ai donc une heure, entre 16 et 17 pour pécho mon pote Jipasque.  »

      entre seize et dix-sept

      « Zoner en salle de repos, près de la machine à café me semble être l’idéal pour un guet-apens machiavélique dont il ne se doutera de rien. »

      dont il ne se doutera pas (erreur de syntaxe : si tu remets la phrase à l’endroit, ça donne « il ne se doutera pas du guet-apens machiavélique », et non pas « il ne se doutera de rien du guet-apens machiavélique »)
      Le mieux est d’effacer ces derniers mots pour terminer sur « machiavélique », c’est plus fort et ça suffit pour comprendre.

      « Le hasard. Tu parles !
      Mais avant, il faut mettre à profit tous contacts humains extra-professionnels pour glisser dans la conversation la dent du délit.  »

      tous (les)
      la conversation (sur) la dent du délit

      « Ce genre de fait divers, mes collègues en sont friands. Nous, hommes et femmes de l’ombre, nous ne vivons plus que par procuration. Les seuls articles de presse vantant nos mérites figurent dans la presse spécialisée. Audience : quelques milliers de professionnels de la profession, comme aiment le rappeler tautologiquement les journalistes de journaux journalistiques. »

      lol

      « La chasse est ouverte. Les lieux de prédilections pour ce genre d’activité sont les couloirs, les visites opportunes dans les bureaux d’à-côté, et la fameuse machine à café trustée par les Jean-Claude Convenant et Hervé Dumont locaux. Je sens d’ores et déjà que le taux de caféine dans mon organisme sera élevé ce soir. Déjà que le changement de piaule, malgré cinq ans de bourlingue, je ne m’y fait toujours pas, matant n’importe quelle connerie à la télé jusqu’à parfois deux heures du matin, cherchant vainement le sommeil après avoir relu sept fois la même page sans rien comprendre du texte. Fatigué mais sans sommeil. Drôle de maladie. Quelle mouche m’a piqué ? Tsé-tsé, où es-tu ?
      10h30 pétante. L’heure de la pause. Je tiens ma position stratégique. A cinq mètres de la machine.  »

      Elle a l’air grande la pièce, tu peux décrire la configuration ? Dans certaines boîtes, la machine un café se trouve un couloir, près de l’entrée, dans le hall ou dans une petite pièce non ventilée malgré la présence d’une VMC toute propre en haut d’un mur (mais qu’est-ce qui bouche la VMC et qui diffuse cette odeur de rat crevé ? Je ne préfère pas savoir… Qui veut du café? ).

      « Pour ne pas perturber le flux tout en pouvant intercepter tout le monde. Et sans forcer, le seul sujet de discussion de la journée : la dent humaine.

      le « et » est de trop, surtout qu’un lapse de temps s’est écoulé entre le moment de la planque et les discussions
      il manque peut-être un verbe ?

      « Rien d’intéressant ceci dit. Que des banalités, des vannes foireuses. « Ca va coûter cher à la sécu pour la remplacer » dit l’un. « C’est une dent de tartare, j’en suis sûr, qui c’tait caché » renchérit l’autre. »

      Ecrire cela avec des tirets, comme pour un dialogue, ça permettra d’aérer ton texte

      « L’Audiard du pauvre.
      Le tour des bureaux ne m’apprend rien non plus. Personne n’a pu trouver l’article. Même sur Ternette, rien trouvé. A Ouest-France Saint-Lô, ils ne doivent pas avoir beaucoup de lecteurs du ouaibe pour étaler tous les articles de barbarie du canard local.
      Bredouille. »

      Là, je ne comprends pas. Si personne n’a pu trouver l’article, comment sont-ils au courant ? Pourtant, Jean-Pasc’ a bien trouvé l’article.
      Rien sur le net ? Pourquoi pas.
      Le « canard local », c’est bien Ouest-France Saint-Lô ? On a l’impession que Ouest-France n’a pas mis l’article en ligne parce que l’info est parue dans un canard local…

      « Pause déjeuner. La fève carnivore tient le haut du pavé, de rumsteck, même hors-saison. Les rois de la déconnade s’y donne à cœur, de rumsteck aussi, joie. »

      le dernier jeu de mot coeur/rumsteck/joie ne donne pas une phrase très lisible
      l’amour des jeux de mots ne doit pas te faire oublier ton lecteur

       » « Le mec qui a perdu sa dent n’a plus qu’à aller pointer chez Ivoire-et-Carret ».  »

      Même remarque que précédente

      « Je feins un sourire, dont le cynisme ne fait que cacher l’épreuve d’investigation de haut-vol qui m’attend. Seul mon chef commence à comprendre que ça me turlupine. Il vient de se rendre compte que c’est mon client et que je lui rends visite demain. »

      Quel chef ?

      « Le lecteur que je suis ne s’est pas aperçu que cela « turlupinait » ton héros ? Il faut le montrer.

       » J’attends la sienne en début d’après-midi. En attendant, ça se gausse, comme Pivot, c’est ça la convivialité développée par la direction bien aidée par les multiples approches psychologiques du service Erre-Hache. »

      Régis, mon chef, sur le chemin du retour me propose un « débrief » avant que je parte (au casse-pipe) chez ADN. »

      Ce n’est pas Jean-Pascal, ton chef ? Précise la hiérarchie…

       » Il m’en explique le contexte un peu particulier. »

      enlever le m’

      « Je l’informe du message électronique de Jean-Pascal Moulin. »

      Si tu as commencé avec Jean-Pasc’, continue, sauf si tu passes au style direct, du style :
      – Jean-Pascal Moulin m’a envoyé un mail. Il veut que je m’occupe de l’affaire.

      « Il baragouine, tergiverse, paraphrase tout ça pour me dire de la jouer soft. Pas de vagues. Comme si j’allais faire du surf sur les plages de débarquement.  »

      lol

      « Des fois je me demande s’ils ne me sous-estiment pas un peu trop. »

      Un virgule après Des fois,

      « Ca fait plaisir toute cette confiance, on sent l’équipe soudée. Encore une utopie erre-hachiée qui s’évapore. »

      lol

      « Je me sens de plus en plus seul.
      Heureusement, il y a Moulin, pas l’inspecteur, Jean-Pasc’.

      ajouter « mais » Jean-Pasc

      « Téléphone. Réunion improvisée dans la petite salle du premier étage, en face du bureau de Jean-Pasc’. André Mayer, le directeur de la communication est là aussi. Je ne sais pas si je dois me sentir soulagé. Mais le journal Ouest-France, édition Saint-Lô est là. Sur la table. Jipasque m’offre gracieusement une photocopie noire et blanche, ce qui est largement suffisant, la photo couleur étant « d’archive », montrant un homme en casque de chantier et blouse blanche, la main droite appuyée contre la carcasse d’un bovin, le visage radieux comme un solognot à côté de son exploit de chasse. Je prends le temps de lire l’article. »

      Si c’est une photocopie, c’est donc une page/feuille du journal qui est sur la table, pas le journal en entier je suppose ?
      Si l’article a mérité une photo, bizarre que ça ne se retrouve pas sur le web ? J’aurais compris si cela n’avait occupé qu’un entrefilet…

      On attend la suite.. Un extrait de l’article je suppose ?

  2. Euh bonjour, j’ai 16 ans, j’espère que ce site est encore en vie.
    j’essaye de créer un petit truc pour me faire plaisir maintenant je ne sais pas quoi mais il manque quelque chose et j’arrive pas a me plonger dans l’action (même si c’est moi qui a écris) alors s’il était possible de me conseiller et de me donner un avis ça serait bien
    Merci d’avance.
    [SANS TITRE]
    PROLOGUE

    […] LA ROUTE ETAIT SOMBRE, SI SOMBRE.
    L’IDEE DE FAIRE DEMI-TOUR LA HANTAIT…
    CEPENDANT, LA MONSTRUOSITE QU’ELLE VENAIT D’APPRENDRE NE LUI PERMETTAIT PAS DE SE RETOURNER.
    IL FAISAIT NUIT, LA LUNE ETAIT MASQUEE PAR DE SOMBRES NUAGES D’UNE TEINTE VIOLETTE. LE VENT SIFFLAIT DANS SES OREILLES TEL DES CRIS AIGUS DE DETRESSE.
    DE TEMPS EN TEMPS, LES CRIS DES OISEAUX QUI S’ENVOLAIENT LA FAISAIT SURSAUTER DE TERREUR. C’EST ALORS QU’ELLE IMAGINA.
    ELLE IMAGINA LA VIE QU’ELLE AURAIT EU SI ELLE ETAIT RESTE LA. SANS RIEN FAIRE.
    AVEC CETTE CHOSE NOIRE EN SON AME, ELLE AURAIT SANS DOUTE COMMIT DE TERRIBLES CRIMES.
    ELLE ENTENDAIT ENCORE LES HISTOIRES INSENSEES QUE SA PROPRE OMBRE LUI AVAIT CONTE. « LA DESCENDANTE » L’AVAIT-ELLE APPELEE…

    CHAPITRE PREMIER

    LA NUIT ETAIT TOMBEE ET LES LUMIERES DU QUARTIER D’ETROP S’ETEIGNAIENT UNE A UNE.
    IL FAISAIT FROID, LES FENETRES DE SA CHAMBRE ETAIENT LITTERALEMENT RECOUVERTES DE GEL. LE SEJOUR SE TROUVAIT A L’ETAGE EN BAS, AU DESSOUS DE SON PARQUET CIRE. DE LA, ON POUVAIT ENTENDRE LE BOIS QUI CRAQUELAIT SOUS LE FEU BRULANT DE LA CHEMINEE.
    DE SON LIT, ELLE PERCEVAIT PARFOIS DES MOTS DE CONVERSATIONS DIVERSES QUE TENAIENT SA MERE ET SON AMANT. SOUVENT DES PERLES MOUILLEES ROULAIENT SUR SES JOUES PALES.
    ELLE SE DISAIT QUE CETTE FEMME INDELICATE ET SEVERE NE POUVAIT ETRE LA PERSONNE QUI L’AVAIT MISE AU MONDE. QUE CETTE FEMME QUI LA BATTAIT FREQUEMENT ET SANS RAISON NE MERITAIT PAS D’ETRE AIMEE ET D’ETRE ENTOUREE PAR CE QUE L’ON APPELLE UNE FAMILLE.
    MAIS KAZE AVAIT PEUR. PEUR DE DIVULGUER A SON PERE LA VERITE A PROPOS DE LA LIAISON SECRETE DE SON EPOUSE. ELLE SAVAIT DUEMENT QUE SI UN MOT A CE SUJET SORTAIT DE SA BOUCHE ELLE SE TORDRAIT DE DOULEUR POUR LE RESTANT DE SES JOURS…
    LE PERE DE LA JEUNE FILLE ETAIT UN BRAVE HOMME. IL TRAVAILLAIT LABORIEUSEMENT DANS UNE USINE VISANT A CREER DES SIEGES D’AUTOMOBILES.
    UN JOUR, IL AVAIT EXPLIQUE A SA FILLE QU’IL TRAVAILLAIT DANS UNE « FIRME TRANSNATIONALE » MAIS QUE LES REGLES DE SECURITE N’ETAIENT PAS AUX NORMES.
    IL TRAVAILLAIT 52 HEURES PAR SEMAINE ET RAMENAIT L’ARGENT ET LA POSSIBILITE DE VIVRE A SON FOYER.
    KAZE NE SAVAIT PAS CE QUE SIGNIFIAIT « FIRME TRANSNATIONALE » MAIS ELLE SAVAIT QUE SON PERE NE VIVAIT PAS DE TENDRES JOURS AU TRAVAIL.
    ELLE SE SENTAIT SALE DE NE PAS ETRE CAPABLE DE LUI PARLER AU SUJET DE SA MERE. POUR ELLE, C’ETAIT UN PEU COMME SI ELLE TRAHISSAIT L’ETRE QUI LUI ETAIT LE PLUS CHER AU MONDE. ET PUIS, SI ELLE EN PARLAIT, QUELLE SERAIT SA REACTION, CELA FAISAIT DEJA DES MOIS DURANT. IL LUI EN VOUDRAIT PEUT ETRE AUTANT QU’A LA MEGERE SE PRELASSANT DEVANT UN HOMME AU REGARD VIF, UN HOMME N’AYANT PAS CONNU LA DIFFICULTE, QUI DEVAIT CERTAINEMENT FAIRE TINTINER DES CLOCHETTES POUR QUE L’ON LUI APPORTE UNE LIASSE DE BILLETS SUR UN PLATEAU…
    SA MERE ET LUI LA REPUGNAIT ET CELA NE POUVAIT PLUS DURER.
    KAZE DECIDA ALORS D’ECOUTER, TOUS LES MERCREDIS, LA CONVERSATION DES AMANTS.LA SALLE DANS LAQUELLE ILS SE RENDAIENT TOUJOURS SE TROUVANT JUSTE EN DESSOUS DE LA CHAMBRE DE L’ADOLESCENTE, CA NE SERAIT PAS COMPLIQUE.
    ELLE COLLAIT, TOUTES LES SEMAINES SON OREILLE DROITE SUR LE PARQUET DE SA CHAMBRE, LE SEUL ENDROIT QUI FUT CHAUD SUITE A LA CHALEUR DU FEU QUI VENAIT CARESSER LE PLAFOND DU SEJOUR, ET ENTENDAIT DES PAROLES NAIVES ET DENUEES DE TOUT SENS A SES YEUX.
    SEULEMENT, UN JOUR, ELLE SURPRIT UN DIALOGUE EN COURS. IL ETAIT DIFFERENT DE D’HABITUDE. LA TONALITE DE LA VOIX DE SA MERE AVAIT CHANGEE DU TOUT AU TOUT. ELLE AVAIT L’AIR, BIEN QUE CELA PARAISSE IMPOSSIBLE, D’ETRE SERIEUSE ET PRISE D’UNE GRANDE ANXIETE.
    -« VOYEZ-VOUS MON CHER JOHN, S’EXCLAMAT-ELLE, DIMANCHE, QUAND CET IMBECILE ETAIT DE REPOS, IL S’EST PRODUITE UNE CHOSE A LAQUELLE JE NE M’ATTENDAIS PAS.
    JE VOUS AVAIS DEJA DIT QUE MEME SI JACQUES ET MOI-MEME ETIONS MARIES DEPUIS MAINTENANT 15 ANS, J’AVAIS L’IMPRESSION DE NE PAS TOTALEMENT LE CONNAITRE, QU’IL AVAIT SANS DOUTE UN GRAND SECRET ET QU’IL SERAIT DIFFICILE POUR MA PERSONNE DE LE DECOUVRIR.
    -JE M’EN SOUVIENS TRES CHERE. ACQUIESSA JOHN.
    -ET BIEN JE SUIS DESORMAIS CONVAINCURE QUE CELA N’ETAIT PAS UNE IDEE QUE JE ME FAISAIS, POURSUIVIT-ELLE.
    DIMANCHE, VOUS DIS-JE, AU ALENTOURS DE 15 HEURES, J’AI APPERCUE DEUX OMBRES DANS LE COULOIR A L’ETAGE. IL S’AGISSAIT INCONTESTABLEMENT DE LUI ET DE SON PETIT POT DE COLLE, JE NE PEUX M’EMPECHER DE MEPRISER CETTE PETITE PESTE INCAPABLE DE FAIRE QUOI QUE SE SOIT D’INTELLIGENT. ILS SE TROUVAIENT DANS LE PETIT BUREAU EN HAUT, JE NE VOUS Y AI JAMAIS INVITE, CETTE PETITE CURIEUSE SERAIT BIEN CAPABLE DE NOUS EPIER. HEUREUSEMENT QU’ELLE EST ENFERMEE DANS SA CHAMBRE ET QU’ELLE NE PEUT EN SORTIR CAR JE SUIS SURE ET CERTAINE QU’ELLE POURRAIT ETRE PRISE D’UNE PULSION ET VENIR NOUS TUER TOUT LES DEUX.
    -VOYONS MA PETITE JESSICA, SANS VOULOIR VOUS CONTRARIER, JE PENSE QUE VOUS PARTEZ UN PEU LOIN DANS VOS SONGES. COMMENT UNE JEUNE ENFANT COMME ELLE POURRAIT NOUS NUIRE D’UNE FACON OU D’UNE AUTRE ? D’AILLEURS, JE SUIS CERTAIN QUE MEME SI ELLE SE TROUVAIT EN FACE DE NOUS EN CE MOMENT MEME, ELLE NE POURRAIT PAS COMPRENDRE UNE CONVERSATION COMME CELLE QUE NOUS TENONS ACTUELLEMENT. »
    VEXEE, KAZE RETIRA BRUSQUEMENT SON OREILLE DU SOL CHAUFFE. SUR SON VISAGE SE LAISSAIT APERCEVOIR UN VILAIN RICTUS ET SES YEUX BRILLAIENT DE COLERE.
    CEPENDANT, TOUTES LES MECHANCETES POUVANT ETRE DITES A SON SUJET NE L’INTERESSAIT PAS, ELLE VOULAIT CONNAITRE LE CŒUR DU DIALOGUE.
    ELLE REMIT ALORS LE COTE DE SA TETE SUR LE SOL ET CONTINUA D’ECOUTER LA CONVERSATION.
    -« […] ASSEZ AGEE POUR COMPRENDRE LE LANGAGE DES HOMMES CROYEZ LE OU NON.
    A 17 ANS, ON PEUT COMPRENDRE FACILEMENT !
    MAIS TOUT CELA NOUS IMPORTE PEU, JE POURSUIS DONC CE QUE JE VOUS DISAIS :
    ILS ETAIENT DONC TOUT LES DEUX, ET JE LES ENTENDAIS MARMONER DES CHOSES.
    EVIDEMMENT, JE N’AI RIEN COMPRIS, D’EN BAS DES ESCALIERS, ON NE PEUT PAS COMPRENDRE UNE SEULE PAROLE. C’EST D’AILLEURS POUR CELA QUE JE PUIS AFFIRMER QU’ELLE NE NOUS ENTEND PAS DE LA OU ELLE EST.
    JE SUIS SURE QUE SI J’ETAIS ENTREE DANS LA PIECE, ILS SE SERAIENT TUENT.
    -VOUS N’AVEZ DONC PAS ESSAYE ! COMMENT POUVEZ-VOUS AFFIRMER QU’IL VOUS CACHE QUOI QUE CE SOIT?
    -JE LE SAIS ! REPONDIT-ELLE. IL LA CHERIE, IL L’ADORE, COMMENT PEUT ON SE PRENDRE D’AFFECTION POUR UNE TELLE ABOMINATION ? ET PUIS CE N’EST PAS D’AUJOURD’HUI,
    DES QU’IL RENTRE IL MONTE AUX ETAGES POUR ALLER « LUI DIRE BONJOUR », VOUS SAVEZ, C’EST UN HOMME BIEN MYSTERIEUX, IL NE ME DIT PAS GRAND-CHOSE. JE PRENDS SOIN DE DEVEROUILLER LE VERROU DE LA CHAMBRE DE KAZE AVANT QU’IL NE RENTRE OU JE SUIS SURE D’ETRE JETEE DEHORS. IL A UN SECRET ET IL EST QUELQUE PART, A L’INTERIEUR DE CETTE MEME MAISON. VOYEZ-VOUS, JACQUES A TOUJOURS UN TROUSSEAU DE CLES AVEC LUI. JE NE SAIS PAS QUELLE PIECE DANS CETTE MAISON LA SEULE QUI Y EST ACCROCHEE PEUT BIEN OUVRIR, MAIS JE SAIS QUE C’EST ICI.
    IMAGINEZ-VOUS UN PEU CE QUE CELA SIGNIFIE ?, DEMANDA-T-ELLE.
    -ET BIEN J’ADMETS NE PAS VRAIMENT SAVOIR VOUS SUIVRE.
    -JE VAIS VOUS GUIDER VERS MA CONCLUSION. CELA FAIT 6 ANS QUE JE VIS DANS CETTE MAISON TOMBANT EN LAMBEAUX ET POURTANT, IL Y A UNE PIECE QUE JE N’AI PAS VISITEE. JE NE SAIS NI OU ELLE SE TROUVE, NI CE QU’ELLE CONTIENT. CE QUI EST SUR, C’EST QUE CE QUI EST A L’INTERIEUR EST TRES PRECIEUX POUR JACQUES. ET SACHEZ QUE SI JE SAIS UNE CHOSE DE LUI, C’EST QUE QUAND IL CACHE SES AFFAIRES, C’EST QUE CELA A DE LA VALEUR, ET PAS QU’UN PEU !
    -MAIS QU’IMPORTE ? LAISSEZ DONC CE MECREANT VIVRE SA VIE AVEC SA CHERE PETITE HARPIE ET VENEZ AVEC MOI, QUELLE QUE SOIT LA VALEUR DE CE QU’IL VOUS DISSIMULE DERRIERE LA PORTE DE CETTE PIECE INCONNUE, JE POURRAIS VOUS EN OFFRIR TELLEMENT PLUS, POURQUOI NE VOUS FAITES VOUS PAS A L’IDEE QUE CET AFFREUX NE VOUS MERITE PAS ET QUE VOUS VOUS METTEZ EN PIECE POUR UN FOYER PITOYABLE QUI NE PEUT ETRE SAUVE DE LA PAUVRETE ?
    -SIMPLEMENT PARCE QUE SI JE PARS, LE MYSTERE QU’IL ENFERME SOUS CLE SERA UTILISE ET RUINERA MA VIE. VOUS SAVEZ QUE JE NE SUIS PAS UNE SAINTE N’EST-CE PAS ?
    LES ERREURS QUE J’AI COMMISES SONT IRREPARABLES. MAINTENANT QUE J’AI COMMENCE, JE NE PEUX PLUS M’ARRETER, C’EST UNE CHAINE SANS FIN. J’AI RESOLU UN MYSTERE MAIS CELA POSE UN AUTRE PROBLEME ET S’IL N’EST PAS RESOLU A SON TOUR, MES 2 ANS DE RECHERCHES N’AURONT SERVIS A RIEN, DIT JESSICA D’UN TON DETERMINE.
    ELLE CONTINUA: -« VOUS SAVEZ CE QUE JE VEUX ET JE L’OBTIENDRAIS »
    L’HOMME ACQUIESSA AVEC UN HOCHEMENT DE TETE. L’ATMOSPHERE ETAIT TENDUE DANS LA PIECE. KAZE N’ENTENDAIT PLUS QUE LE SILENCE. ELLE PUT DECELER UN BRUIT DE PAS,
    ILS SE DIRIGEAIENT VERS L’ARCHE QUI RELIAIT LE SEJOUR A LA CUISINE. ELLE COMPRIT ALORS QU’ELLE NE POURRAIT RIEN TIRER DE PLUS DE CETTE CONVERSATION.
    ELLE S’ALONGEA ALORS SUR SON LIT ET REFLECHIT UN INSTANT.
    CELA FAISAIT MAINTENANT 12 ANS QUE JACQUES, LE PERE DE KAZE TRAVAILLAIT DANS SON USINE. LES DEPENSES DE LA FAMILLE ETANT ASSEZ RARES, IL DEVAIT BIEN Y AVOIR QUELQUES MILLIERS DE SOUS DE COTE POUR LE FOYER BARRICADES DANS LES BRIQUES DE LA CAVE DE LA DEMEURE. MAIS PAS SEULEMENT, C’ETAIT LA QUE TOUS LES PAPIERS IMPORTANTS POUR JACQUES ETAIENT EGALEMENT CACHES. SEULE KAZE ETAIT AU COURANT DE CELA MAIS MEME SI ELLE ETAIT LA SEULE A CONNAITRE LA PLANQUE DE SON AVEUGLE PERE, ELLE NE SAVAIT RIEN SUR LES PAPIERS DITS « IMPORTANTS » ET SURTOUT, COMMENT ENTRER DANS LA CAVE DE LA MAISON.
    LA JEUNE FILLE NE PUT S’EMPECHER DE REFLECHIR AU PROBLEME TOUT LE RESTE DE LA SOIREE. QUE VOULAIS VRAIMENT OBTENIR JESSICA ?

    Bon je sais que le prologue n’a pas grand chose a voir mais je trouverais (enfin je l’espere)
    ensuite je suis desolée pour le texte en majuscules ca donne bien sur word mais ici c’est pas le cas et j’avous la fénéantise m’a fait faire un « copié collé ».

    Pour finir, j’ai lu la remarque pour le texte « la presse a une dent contre eux » enfin si c’est le titre (mon intuition feminine n’est pas très developpée) et je tiens aussi a m’excuser pour les chiffres en chiffre car c’est un copie collé et le changement de caractère me gêne un peu)
    Cordialement,
    moi.

    1. Si vous voulez bien ne pas tenir compte du « prologue » en fait je réfléchis pas avant d’écrire alors la je refais le prologue. Ça m’aidera peut être a changer ce qui ne va pas si j’arrive moi même a comprendre mon histoire.
      je fais donc un avant début pour pouvoir mieux structurer mon idée et m’aider a trouver de quoi mon texte va parler.
      J’aimerais vraiment réussir a faire un texte structuré et attirant qui tienne sur plus de 10 pages (manuscrites).

  3. Bien, un premier avis : tu écris assez bien, j’aime bien ton style, avec un vocabulaire varié et des phrases agréables à lire. C’est surtout visible au début. Après, au niveau des dialogues, il y aurait des choses à revoir.

    A quelle époque se situe ton histoire ? On a l’impression de se trouver au XIXe (le père ramène l’argent de la famille, travail en usine à 52h par semaine, pas de sécurité, l’amant qui semble appartenir à la noblesse,

    Je remarque aussi plusieurs clichés (qui peuvent être utilisés si tu en joues) : les larmes qui coulent, l’image du plateau de billets, les « très cher » et « mon cher »…

    Concernant l’intrigue, je me suis demandé si tu allais inverser un moment donné l’antithèse du père parfait et de la mère monstrueuse (peut-être que le père n’est pas si parfait et que la mère a des raisons de battre la fille si en réalité c’était un monstre, ce pourquoi elle était enfermée… mais c’est juste une idée que j’ai eu en te lisant), mais finalement, l’idée d’une pièce secrète est pas mal, ça titille la curiosité du lecteur. Ne donne pas toute de suite d’explication : même si ton héroïne le sait, moi, lecteur, je ne veux pas le savoir tout de suite ! Il faut aménager un suspense, que l’on puisse imaginer toutes sortes de choses à partir des indices que tu auras donnés…

    Voici mes premières impressions pour l’instant. Concernant l’action, tu peux ajouter des déplacer dans les pièces, des flashbacks, faire intervenir d’autres personnages, la fille qui va à l’école et en parle à sa meilleur amie, etc.

    En espérant t’avoir un peu éclairé,

    A bientôt,

    D.P.P.

    1. Merci Pour votre réponse je vais tenter de mettre en application vos conseils et tourner la chose un peu a ma sauce en espérant faire quelque chose de bien.

  4. Voilà c’est encore moi j’ai écrit un petit truc qui m’est passé par la tête pour de multiples raisons que je ne citerai pas mais je me demandais si en changeant quelques tournures de phrases dans mon texte (pour lequel je n’ai toujours pas de titre) et peut êtres les âges de certains personnages, cela ne pourrait pas s’y intégrer en tant qu’avant propos ou je ne sais quoi d’autre. Pardonnez moi si je poste trop d’un coup sur le site et que je ne le fais pas par pavé mais en plusieurs fragments c’est que je suis pas mal tête en l’air…
    [Pensée Floutée]
    Avez-vous seulement déjà ressenti cela ?
    Quand notre « nous intérieur » n’en peut plus, que l’on a l’impression d’exploser…
    Quand vous avez dans le cœur une foule de sentiments en pagaille et que vous ne savez pas de quoi il s’agit ?

    Vous savez que vous avez mais vous ne savez pas ce que vous avez…

    Cette étrange sensation, moi, je la ressens chaque jour, chaque heure et chaque seconde de ma vie…
    Chaque minute qui passe n’est qu’un pas en plus vers le désespoir…
    Peut-être ai-je déjà franchi le point de non-retour et que je suis déjà plongée dans le noir mais la situation se dégrade encore plus, toujours plus…
    Jamais je ne voudrai à nouveau « aller de l’avant » car cela m’enfoncerait d’avantage dans le cauchemar de ce que l’on appelle « la vie ». Malheureusement, j’y suis contrainte…
    Le simple fait que le temps passe nous fait aller de l’avant…

    Un jour je partirai. Enfin j’écrirai ma propre histoire et tracerai mes propres lignes, sentiers de ma vie…
    Et saches, mon amie, que la classe de personnages dont tu fais partie, à savoir, les figurants, n’est pas si importante.
    C’est pour cela que dans l’histoire dont je parle, l’histoire de ma vie, tu ne figureras pas.

    Je sais que je fais tout à l’envers aussi un bout d’histoire, un avant propose ou un résumé, un bout d’histoire, un prologue, … quelle organisation !

  5. votre deuxième partie de texte est assez différente de la première je crois que cette remarque est futile mais elle prend son sens que vos textes me donne l impression d ‘etre dictée par des sentiments fort et marqué le premier me laisse a pensé que vous êtes dans un bonheur floué par une chose et le deuxième me fait pensé a une femme en colère envers un être proche
    désolé si ma remarque est trop osé

  6. Bonsoir.
    Tout d’abord, je tiens à m’excuser pour mes posts répétitifs peut être un tantinet agaçants.
    Je sais qu’il n’est pas poli de s’excuser soit même, j’ai un motif mais sera-t-il seulement valable à vos yeux ? En fait je n’aime pas trop montrer des textes même mauvais à mes proches ils ne me donnent pas vraiment des idées mais ils me les imposent plutôt (« moi je serai toi je ferai ça » et ça fini souvent par « mais si fais le tu verra ça va être bien » dans ces cas la moi je laisse un peu tomber parce que je veux pas je n’écris pas à la manière d’une dictée enfin bref) c’est pour cela que je préfère un avis extérieur et de préférence encore le vôtre car je pense m’être un peu prise « d’affection pour ce site ».

    Tout d’abord (ça fait beaucoup de commencements pour une seule histoire pas vrai ?) je souhaiterais vous exposer un petit problème:
    Voilà ces temps-ci, j’ai pas mal envie d’écrire et cela ne me déplait pas du tout loin de la c’est juste que j’écris un peu n’importe quoi.
    J’écris des morceaux de textes qui ne donneront sans doutes jamais de suite concrète…
    D’ailleurs je ne sais pas trouver les mots pour poursuivre mon histoire (pour laquelle le titre ne me vient toujours pas).
    Mon petit souci maintenant exposé, je me remet à votre bon sens:
    Dois-je abandonner ce texte et en commencer d’autres avec l’espoir qu’un jour, un de mes projet finisse par aboutir sans que l’inspiration ne me lâche ? Peut-être je devrais écrire d’autre choses en même temps et le compléter au fil du temps même si cela risque de prendre quelques années, laisser de côté cette histoire quelques temps.

    Enfin j’ai encore écris un petit truc mais ça me donne une impression étrange je n’arrive pas vraiment à décrire ce que j’ai en tête c’est comme si ça me plongeait un peu plus dans le flou. Comme si je découvrais seulement ce qu’il y a dans ma tête un peu comme un lecteur voulant connaître la suite alors que je n’ai encore imaginé que le début et que je suis l’auteur… Bref c’est peut-être juste normal. Pour encore vous embêter un peu je vais le poster dans ce commentaire. Histoire de vous donner plus de lecture même si je ne suis qu’une débutante.

    Bon j’ai dit avant propos mais bon euh les propos d’après le avant sont sans doutes les paroles d’une muette qui ne pourra inventer l’histoire qui doit suivre car elle s’est rendormie… l’inspiration… Quelle chance j’ai avec ce personnage moi !

    [Mémoires d’une cendre égarée]
    [Avant Propos]
    . . .
    C’est triste de l’admettre, mais tu ne m’as pas gâtée…
    Bien que je n’étais, selon les autres civilisations, pas à plaindre, j’ai toutes mes raisons de penser que j’étais à ce moment la plus malchanceuse au monde…

    Permettez-moi juste de vous conter mon histoire. Laisser moi m’adresser juste un moment à vous. Peut-être que vous finirez par me comprendre. Peut-être que vous finirez même par me plaindre. Il est vrai que certains d’entre vous m’envieront. Il est également possible que certains m’admireront. Mais je suis sûre d’une chose et je vous le confie. Sûre que la majorité d’entre vous, chers témoins de ma vie, serez sidérés, voir même pris d‘un certain sentiment de pitié à mon égare…
    Croyez-le ou non, ce que je m’apprête à vous révéler me fait plus que souffrir. Oui. Cela me fait mal.
    Quelle douleur atroce que de porter sur ses épaules le poids de millions de vies.
    Vouloir sauver tant d’âmes toutes plus innocentes que les autres en sachant que…cela est juste impossible…
    Je n’aurais jamais pu y parvenir.

    Si seulement…

    Si seulement ils m’avaient entendue…
    Si seulement ils m’avaient laissé ne serait-ce que le bénéfice du doute…
    Je fini par me demander qui est le coupable dans toute cette histoire. Moi ou toutes les personnes que j’ai voulu prévenir, avertir. Toutes les personnes que je me suis efforcée à tenter de convaincre mais en vain. Toutes ces personnes sans cervelles qui croyaient que le monde se résumait à peine à cent ans d’histoire … .
    Du moins, c’est ce que j’ai ressenti vis-à-vis d’eux, de pures machines sans cœur ou plutôt, à cœur « sélectif » si vous me comprenez un tant soit peu…
    Ne voulant croire que ce qu’ils pouvaient voir…
    Ils ont donc fini par l’oublier…
    Ils ont donc supprimé de leur mémoire le souvenir des cendres grises d’il y a un peu plus de mille ans…

    Lorsque cela s’est produit, la toute première fois…
    Oui… Ce jour-là…

    À l’aube de la première crise, de la première alerte, les Hommes m’avaient écoutée. Ils avaient su lire dans mon cœur. Ils étaient ouverts d’esprits. Ce temps est révolu à présent. Envolés, tous les souvenirs du passé se sont noyés dans les cieux, ne laissant nulle trace d’eux.

    Aucune trace, non aucune car…
    Comme aujourd’hui encore…
    Les souvenirs fuient avec les cendres chaudes de leurs détenteurs…

    []
    Bon je sais qu’il y a beaucoup de répétitions mais j’aime insister à chaque fois je répète je ne sais si vous l’avez vu.
    Maintenant je suis sûre que j’en fais des répétitions sans le faire exprès mais bon.

    Enfin je ne sais pas comment ça marche je n’ai pas l’habitude de m’inscrire sur des site donc euh je précise tout de même au cas ou je suis Jennifer (j’aurais pas du créer de gravatar ça ne m’aurait pas rendue confuse)
    En réalité mon nom était déjà pri quel manque d’originalité j’ai…

  7. j ai relu votre texte est sa me fait pensé a un malaise, qqch de… dérangeant ,comme si vous n’accordiez pas de réelle importance aux gens… Caractéristique d’un égoisme mais… pour se protéger
    voila ce que me fait ressentir la lecture de votre texte

    1. Jennifer a posté son texte pour avoir un avis sur son texte, pas pour que l’on s’amuse à deviner dans quel état psychologique elle était quand elle a écrit ce texte. Par ailleurs, parler d’égoïsme me semble un tantinet agressif, comme approche…

      Ne croyez-vous pas que l’on puisse écrire un drame en étant heureux dans sa vie, ou que l’on puisse écrire un récit merveilleux avec des elfes et des anges en étant au quatrième dessous ?

      Freud avait déjà essayé de psychanalyser des auteurs (comme Hölderlin). Si l’écriture a un lien avec l’inconscient, comme dans l’écriture automatique ou l’écriture thérapeutique par exemple, il faut se retenir d’identifier le héros à l’auteur, même s’il lui ressemble et que le récit comporte de nombreux éléments autobiographiques, car l’écrivain est tous les personnages, toutes leurs relations, toute l’intrigue et toutes les lieux où elle se déroule. De même, l’analyse d’un rêve ne se limite pas aux actes du rêveur mais à tous les éléments du rêve…

  8. Alors, en réalité, comme je l’avais précisé, j’ai écris mon deuxième texte suite à des évènements passés mais je tiens à préciser que ce texte ne doit pas s’associer à ce que je vis, c’est totalement différent. Je créer un personnage sans précision mais essaye de donner une image de lui a travers une description de ses sentiments. En effet on pourrait penser à de l’égoïsme.
    Moi je vois plus un desespoir un besoin de s’ouvrir au monde.
    Mais chacun se vision des choses. Si je le partage c’est bien pour que l’on se fasse une idée mais pas une idée de moi, une idée sur le personage ou sur une histoire. Une idée personnelle.
    Je vous remercie pour vos commentaires qui me font très plaisir.
    Cordialement,
    Jennifer

  9. L’ aube d’ un amour perdu,

    Cela fait un moment que je suis avec toi , exactement 4320 heures , nous sommes passé du rire au larmes.
    au début c était les rires…
    Doux et mélodieux , on prennait plaisir à les méler…
    Ah que l’ amour qui éclot de son cocoon est beau a voir et regarder.
    Tu ne jurais que par moi lucien était mixé a toutes les sauces , j’ avais l ‘ impression d’ être l’ homme idéal à tes yeux que la perfection résidé dans chaqun de mes mouvements et paroles , cela flatté plutôt mon égo je m ‘ en cache pas , les jours passé et plus l ‘idylle qui se dessiné ,éveillé tant d’ espoir enfouis , mais soudain l’ idylle piqua du nez tel un avion en phase d’ atterissage , ah sa les rires se fesaient plus rare , tu ne me surnomma plus , j ‘ avais l ‘ impression d’ être affreusement original , on m’ aurais mis sur un meuble l’ effet que cela aurait fait sur toi m’ aurait effrayer…
    Alors je décida de me remettre en question croyant que ce fût moi qui aurait commis une maladresse , qui m ‘ aurait fait perdre le pied d’ éstale sur lequel tu m’ avais placé , alors je me fit encore plus attentionné et plus gentil , aucun changement de ta part ….
    Je me dis a l ‘ intérieur de moi même que peut être déja le quotidien agissa sur toi et moi , enfin sur nous…
    Le seul point positif c est que la dispute m arriva qu’ une fois , et j ‘ eu plus de regret de t ‘ avoir crié dessus que si j ‘ eu conservé cela pour moi.

    Suite à la premiére dispute , la place fut laissé souvent au larmes et a la douleur des mots et de ses réactions faciales qui me figa dans la tête.
    Un jour au soir elle me téléphona pour discuter, mais, au téléphone je me suis pas un grand bavard , plusieurs silences et une phrase qui me tua  » je te laisse c ‘est embêtant de tenir le portable et m’ occuper de ce que j ‘ ai a faire  »
    La phrase a proprement m aurait rien fait si le ton de sa voix sec m’ y avais pas mis son grain de sel….Une larme le long de ma joue un peu joufflue coula
    Ce que je déteste c’ est défois l ‘ expression de réprimande qu elle fixe lorsque elle parle cela m énerve au plus haut point.
    A partir de cette dispute je fais souvent les frais de sa mauvaise humeur , je tiens jusque la mais jusqu a quand ? […]

    L ‘ amour permet de pardonner plein de chose mais comment faire lorsque le mal être d’ être avec l’ autre domine plus que les moments de bonheur qui se font rare ?

    ( je n ai mis qu ‘ une partie de mon texte je pense que […] vous l ‘ auront bien faire comprendre mais j ‘ ai tenu a mettre ma phrase finale a mon petite texte , je reconnais que l’ orthographe n’ est surêment pas mon fort , mais mon écriture est celle qui vient du coeur , je me retravaille pas mon texte je le laisse brut merci de me donner votre avis )

    1. Je lis ton texte en ce jour et c’est bizard comme je me retrouve à l’intérieur …
      Personnellement j’aime bien. Par contre je suis pas douée pour les critiques alors voilà quoi je répond pour rien dire comme à mon habitude

      1. c est l histoire que je vie actuellement avec ma copine si tu préfére mais bon je viens pas ici pour etaler ma vie merci de ton commentaire =)

  10. Bonjour,
    Voilà alors je vais pas encore poster un texte juste demander un petit conseil.
    Voilà j’ai une petite idée d’histoire, je la trouve un peu enfantine mais peu importe. Alors en résumé c’est une fille ordinaire (enfin ordinaire au début) qui fait des rêves un peu étranges qui montre une énorme brèche dans le ciel qui aspire toutes les âmes perdues sur terre. Bon évidemment c’est prévisible hein ça va se produire sauf qu’elle va être « aspirée » elle aussi et elle va se retrouver bloquée dans un autre monde.
    Bon j’avais pensé que ça lui était déjà arrivé dans une autre vie et c’est pour ça qu’elle faisait ces rêves.. Mais bon faut développer.
    Donc voilà, j’aimerai savoir comment je pourrai débuter. Il me faudrait un prologue cependant je ne sais pas comment le construire et je sais que le faire serait un genre de tremplin pour que je puisse avancer dans l’histoire. Est-ce qu’il serait possible de me dire comment doit se construire un prologue ? Est-ce que je doit raconter don histoire avant qu’elle ne fasse ces rêves ? Même est-ce que je devrait raconter comment ça s’est passé dans sa vie antérieure ?
    Voilà en espérant que vous pourrez m’aider.
    Cordialement,
    Jennifer

  11. pour le prologue je ne peux t être d une grande aide hélas , je pense que tu devrais raconter son histoire avant qu’ elle me fasse les rêves cela je pense permettrais une meilleur compréhension du personnage et des évènements qui en découleront , mais par contre tu devrai raconter de façon très rapide comment cela s ‘ est passé dans sa vie antérieur cela permettrai de laisser un suspens pour la suite des évènements

    voila en espérant que mes dires te seront utile

  12. Merci pour ta réponse je tente de tourner la chose sous plusieurs angles je choisirai ce que je préférerai. Ce n’est encore qu’à l’état de projet, je note un peu partout les idées qui me viennent au fil du temps. Je pense que je devrai pouvoir faire un petit texte intéressant.
    Merci encore.
    Cordialement,
    Jennifer

  13. bonjour j avais publier y a quelque temps un texte , j en remercie encore bartimeusobartineus d avoir mis quelque remarque que je trouve utile voila la suite du texte que j ai écris , ce texte est comme les précédents un texte inspiré d’ une histoire personnellement dont la fin a été modifié le texte n ‘ est pas retravailler ( sauf pour la fin ) il est brut , j aimerai savoir si cette histoire dans sa tournure et synthaxe vous parais correct je renouvelle a l’ avance mes excuses pour ma pitre qualité en orthographe.

    Je me pose toujours la question , quand s’ arrêtera ce mal pour un bien.Cette balance me paraît aussi déséquilibré qu’ un jeune nourisson qui commence l ‘ apprentissage de la marche , je laisse le temps se faire , j ‘ emplois le carpe diem dans mon couple bonne ou mauvaise idée ? la c ‘ est une question bien délicate et dont la réponse est bien incertaine…

    Cette fin de mois est bien mouvementé , les disputes se font plus fréquentes j’ ai beau courbés le dos comme un chien battu pour lui donner raison , cela me calme que temporairement mais bon toujours cette expression faciale qui est la pour me rapeller a quoi j ai le droit , ses mots serais moins violent…

    Un soir alors que je me trouver à une soirée elle m’ appela me demandant ce que je fesais, je lui répondit que je m ‘ amuser avec des ami(e)s , une courte discution en découla et comme a l ‘ habitude le silence lourd et pesant , je raccourcis cette torture muette en prétextant qu ‘ un ami avait besoin de moi.

    Le lendemain comme à mon habitude , j allais la voir chez elle , j eu passé un moment divin dans ses bras , j étais telle une colombe dans les mains protectrices de son magicien , j aurai pu même en roucouler tellement le bonheur m ‘ envahisser , la journée se passa comme d habitude silence , calins , clopes , observations l ‘ un de l’ autre dans le blanc des yeux je reparti chez moi avec ma dose quotidienne de satisfaction mais c’ est sans se douter du lendemain…

    Je me léve lui envoie un sms , pas de réponse , 2 ,3 ,4 ,5 sms toujours pas de réponse. Je suis aller chez elle en début d ‘ après midi un petit coucou a toutes sa famille , je la rejoint dans un parc , la premiére choses qui me frappa c ‘ est son visage fermé comme une porte de prison , un baiser fait du bout des lèvres , une après midi horrible , je rentrais chez moi les larmes au yeux se doutant de la suite des événements.

    Le soir mon portable sonna , avec un surnom dont j ‘ en épargnerai la niaiserie.
    Je voulais le laisser sonner un peu mais je savais que je me ferai que retarder l ‘ inévitable alors je repondis et la s ‘ amorça vraiment l ‘ officieux et douleur son du glas de la débandade.

    Je vous laisse deviner la suite , séparation fait de larme aussi sincère que véritable , promesses faite qui me sont pas et ne seront pas tenu d ‘ un coté comme de l autre.

    3 semaines se sont écoulés et j ai compris que je fus l ‘ amour du moment , je n ‘ aurait pu convenir pour la suite de sa vie , elle ma aimer d un amour sincére et profond mais la magie de l ‘ amour m ‘ opéra qu ‘un temps.

    De cette histoire j ‘ en ai tiré une question…

    L ‘ amour permet de pardonner plein de chose mais comment faire lorsque le mal être d’ être avec l’ autre domine plus que les moments de bonheur qui se font rare ?

    j ‘ ai obtenu la réponse…
    Profitez des moments passé a ses côtés car votre coeur me gardera que cela.
    M oubliez jamais cette être , car lui me vous oubliera jamais….

    ( voila la fin de ce texte , je tiens a dire si bartimeusobartimeus si vous vous reconnaissez encore une fois dedans ce qui m étonnerai , c ‘ est que vous avez vécu une belle histoire )

    m hésiter pas a donner votre avis , je compte en écrire plusieurs du même type mais je me sais pas si le résultat sera aussi authentique et si poignant en tous cas cela l ‘ est pour ma part

    1. Une petite histoire qui sent l’histoire vécue ou qui pourrait l’être, ce qui est bon signe, car on y croit.

      Quelques conseils pour améliorer ton texte :

      – développer ton histoire par des dialogues, des lieux, des dates, des évènements, sinon on ne sort pas de l’esprit du narrateur et cela devient une sorte de journal intime, d’essai philosophique, une introspection psychologique un peu flou pour des lecteurs qui n’auraient pas vécu la même chose, il faut que tu leurs « donnes à voir » et tu verras que l’émotion augmentera en intensité

      – éviter les métaphores ou les comparaisons « cliché » ou mal maîtrisées

      – et faire attention à tes lecteurs en soignant la ponctuation et l’orthographe 😉

  14. La nuit porte conseil …
    Tu parle !

    La lune est froide ce soir et des larmes gelées roulent le long de mon visage. Tombe tombe petite perle humide sur l’oreiller.
    J’attends l’impact. Petite bulle explose et disparaît tard dans la nuit.

    Quand tu me demandais si j’étais triste….
    Attendais-tu réellement une réponse ?

    Quand tu me regardais dans les yeux….
    Voyais tu que mon regard reflétait le tient et que les étoiles que tu croyais voir dans mon iris n’étaient qu’illusions ?

    Si je t’avais répondu ce soir là. Oui. Si je t’avais dit que j’étais triste.
    Aurais-tu pu y faire quelque chose ? Aurais-tu su me consoler ?

    Je ne voulais pas répondre. Pourquoi te le dire alors que tu étais impuissant face à mes yeux mouillés ?

    Je ne veux plus t’impliquer dans la tristesse, tu ne peux pas y faire grand chose alors je te laisse croire en mon sourire lorsque le soleil se lève.
    Je te l’ai déjà dit, je ne suis pas difficile.
    Je sais supporter la douleur, je sais que d’autres souffrent plus que moi et chaque jour. Alors pourquoi ? Pourquoi je t’emmènerais avec moi dans une aventure où les larmes se battent sans cesse ?

    Un mur épais nous sépare chaque jour depuis mon arrivée.
    Tu es là, mais je ne te sens pas. Je te vois, mais je ne t’atteins pas.
    Tu m’échappe, je te vois fuir mais tu reste là. Tu n’es qu’illusion je veux que tu t’évapore. Reviens moi réalité, le rêve tourne au cauchemar.

    La lune est froide ce soir. La chambre que je trouvais si petite lorsque je suis venue, me paraît trois fois trop grande maintenant….
    Tu es loin mais je pense à ton retour.
    Je t’attendrai, là, jusqu’au lever du soleil, alors s’il te plaît, reviens moi.

  15. toi l’amie
    dont tant de chose nous lie
    toi qui me confié tout
    ceci est passé a quasi rien du tout

    j’ai passé tant d’heure à te relever
    tant d’heures à tes côtés
    tant d’heures à t’écouter
    tant de moments où je t’ es vu pleurer

    dans mes bras je te serrais
    des paroles douces je te glissais
    à l’oreille comme au coeur
    et je regardais renaitre se sourire charmeur
    la joie t’ illuminé
    ceci résonné en moi comme un remerciement

    la joie ce n’est plus moi qui te l’apporte
    et cela ne réconfortes

    toi l’amie qui disparaîtra bientôt d’ici
    m’oublie jamais ce que j’ai fait

    souviens-toi de toi et moi
    comme d’un bon souvenir
    qui me peut dépérir

    la vie réunissent les êtres
    la distance les fait se méconnaître

    heureux d’avoir pu illuminer ta vie
    car tu l’illuminas aussi

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